Un soir j’étais allé à la taverne du coin, pour aucune raison précise. Je crois que malgré tout c’était encore et toujours la simple chance qui m’avait amener à ce point, et non pas le destin comme certains pourraient essayés de vous faire croire, car je ne suis pas de ses gens, ceux qui tente de justifier leurs actes et échec avec le destin. Ceux la ne sont que des lâches qui ne savent pas jouer le jeu, la vie.
L’histoire serait totalement incomplète sans une petite présentation, je suis un homme d’une trentaine d’années j’ai les cheveux noir couper court et toujours un peu gras, les yeux vert foncé et toujours les yeux cernés, parce que je porte des lunettes en permanence du à ma myopie. Je ne suis ni grand, ni petit, ni gras, ni mince. Je ne parlerais pas tout de suite du metier que je pratique, je vous expliquerais plus tard, promis.
Pour faire histoire courte, si vous me rencontriez sur la rue vous ne me verriez pas, mais ne soyer pas gener, j'y suis habituer à cette vie ni médiocre ni grande. Ne soyer pas triste, ne soyer pas timide, s'il vous plaît seulement, lisez c’est ligne, car elles sont tous ce que j’ai, tout ce qui me reste. J’ai perdu l’amour de ma vie il y a de cela 2 semaines dans un accident de voiture et je n’ai personne à blâmer, c’était 50-50 comme il disait dans les journaux, alors je ne peux même
pas avoir le désir de me venger. Je ne m’attarderais pas plus sur moi parce que
cela ne compte pas vraiment dans l’histoire, simplement que grâce à cette petite parenthèse vous puiser vous imaginer qui vous parle. Oui, j’étais allé à la taverne pour boire comme tout le monde le fait.
Elle n’était pas tellement bondée comme chaque mercredi soir finalement, la clientèle de l’endroit ne changeait pas vraiment, il y fessait chaud et sombre, on ne distinguais jamais bien notre interlocuteur, ce qui parfois ,croyer en mon experience, était une bonne chose. C’est là que j’ai rencontré la chance ou plutôt c’est là que la chance me trouva. Cherchait-t’il quelqu'un comme moi? C’est une question à laquelle je n’ai pas de réponse, du moins pas tout de suite. C’était un homme sans âge au visage dur, mais juste et aux cheveux chatain . Il était grand, pourtant très à l’aise. Il repéra tout de suite mon balayage visuel de la salle et prit l’initiative de s’asseoirà coter de moi.
-« Puis-je ? » ,me demanda-t’il avec un air poli, mais
tout de même intéresser.
Je lui fit donc signe et il s’assied et se mit rapidement à l’aise. Son attitude était tout simplement charmante. Il donnait déjà l’impression de me connaître profondement. Moi, je crois que c’était la premier fois que je le
remarquais.
- C’est une belle journée n'est-ce pas?
- Très belle, l’été est à son meilleur.
- Oui,les femmes sont belle et le soleil brille.
- He he he,bien sure. (J’ignorais quoi répondre à un étranger qui s’asseyait au banc voisin de moi ,qui se trouvait devant le bar, pour me parler du temps, était-il en train de me draguer?)
- Ça vous dit les histoires ?
- Pardon? (Il était d’un genre très directe, comme s’il savait pertinemment ce qu’il
fesait)
- Les histoires, comme un conte, une légende, un mythe ?
(C’était ce moment là que j’aurais pu tout évité,
un simple « non monsieur, désoler, parter maintenant je désir noyer ma
peine seule. » Mais la curiosité est un vilain défaut, vous savez.)
- Quel genre d’histoire ?, répondis-je, intriguer.
- Le Cygne Noire vous connaissez?
- Non,pas du tout, de quoi cette histoire parle t’elle? (Bien évident que je ne
connaissais pas cette histoire, vous comprendrez)
- Vous verrez si je vous la raconte, elle parle d’un homme qui trompe la mort à l’aide d’un cadeaux qu’on lui offre. Alors, désirer vous ce cadeaux ? (C’est la qu’il
était trop tard j’étais pris dans ses filets, j’aurais du me méfier de ce ton enjôleur,
il avait du talent)
- Raconter la moi, si ça vous plaît. ( J’avait adopter un ton desinvolté, mais j’étais
déjà piqué d’une grande curiositer pour cette homme et son histoire)
Il rigola. Il venait de gagner et il le savait.
- Paie moi à boire et je te parlerais du Cygne Noir.
Prenant à boire ce que j’avais commendé pour lui, un rhum jamaïcain,
brun et chaud, sa demande. Il me dit qu’il m’avait déjà vu au par avant ici et
que j’étais toujours seul. J’aurais dû trouver sa louche, mais sur le moment,
comme il l’avait prévu, j’étais trop désireux d’entendre sa fameuse histoire
pour m’en soucier. Il s’étirât, savourant les instants d’attente,puits commença :
De mon jeune temps, j’étais alpiniste, il y a fort longtemps
de cela, j’étais très habile. Je m’étais mis dans la tête d’escalader le plus grand
des monts du monde, après m’être longtemps préparer je me retrouvais à gravir
l’Everest. J’étais avec mon meilleur ami, ma femme et la sienne. Nous étions tous
alpiniste, ensemble nous avions fait la couverture de grands magazines et présidez de nombreuses conférences. La vie était belle pour nous, jeunes, connues, riches et mariées. Tout ce que quelqu'un pouvait demander. Au 7ème jour de notre ascension, une tempête éclata, mais rien ne nous arrêteraient, surtout pas une simple tempête.Au 10ème jour, celle-ci s’intensifia, nous aurions du descendre, mais nous étions jeune et fou. Nous étions trop fiers pour nous laisser bercer par les signes des dieux et les avertissements de nos anges gardiens qui grognaient des avertissements que tous nous ignorions avec fougue. C’est au 13ème jour que tous se passa. Une
avalanche nous tomba dessu, nous dûmes tous mourir là, écrasés sous la neige,
suffoqués ou attacher à la paroi. Je perdis ma femme, mon meilleur ami et, je
l’ignorais à ce moment la, mon premier fils. J’aurais dû mourir avec eux, mais
le Cygne Noire passat et me fit une offre que je ne pouvais refuser.
- Eh la on parle de fiction dans votre histoire! m’indignai-je là.
- Mais bien sur mon cher, tout ceci n’est que pure fantaisie c’est tout inventer. Vous la trouver interresante, non ? Payez moi un autre verre que je continue.
- Aller continuez. (Je crois que déjà j’étais à sa merci,
qu’il était trop tard)
- Croyez-vous au destin?
- Je crois, je ne suis pas sur, j’ai encore des événements
que j’ai de la difficulté à accepter, continuez, je vous prie.
Il eu un rictus qui me fît incomprehensible à ce moment la, maintenant
je sais que c’était à cause de l’ironie de la situation
A la lueur du soleil de 15 heures le Cygne Noire passa au
déçu de l’avalanche et vain à moi. Il me dit ceci :
- Je te rends la vie et je t’offre l’immortalité,tout l’argent et l’or que tu puis désirer, mais tu doit m’offrir quelque chose en échange. Tu payera ton passage à travers les âge en âme que tu collectera pour moi.
J’accepta, sans trop savoir pourquoi, l’instinct de survit était de loin plus
fort que ma raison semble-t’il. Nous volâmes ensemble toute la nuit, il
m’expliqua les termes du contrat et me deposa au pied de la montagne avec un
crie, celui la qu’on entend qu’une seul fois, le crie du victorieux.
- Et que ce passa-t’il ensuite ?
Mon commentaire le fit frémir de plaisir, lui montrant tout l’énergie
qu’il possédait et l’emprise qu’il avait sur moi.
-Eh bien je devins ce que je suis, un collecteur qui marche, immortelle sous le soleil comme sous la lune. Je me devait de lui amené une âme à chaque 13 jours, surment avait t’il lui-même appeler cette tempete sur nous. Ceci je l’ingore toujours, car le Cygne Noire n’explique jamais rien. J’étais loin de me douter du fardeau qui mettait échu. Je devait trouver à chaque période de temps une âme à offrir au Cygne Noire en tribut de mon immortalité, sans quoi elle me serait retirer. Trouver des âme pour le Cygne Noire n’est pas une partit de plaisir je puis me permettre de dire, car la personne en question doit accepter le cadeaux de plein grés. C’est une merveille d’être immortelle, mais ses une tâche terrible. Au début je du utiliser tout mon temps pour reusir. Puis à devenir une personne attirante pour mieux filer et attraper mes… associés.
J’ai fahi échouer à maintes reprise les premiers fois, le Cygne Noire me laissa quelques années pour attraper ma premiere âme. Il ne cessait de me pousser à en devenir fou, hantant mes rêve jusqu’au moment ou finalement je ceda à ces pouvoirs. Je collecta la première âme du lot. C’est la que mon
humanité mourut, car c’était la fille dont j’était amoureux qui consentit le
sacrifice, elle me donna son âme pour m’acheter du temps, et moi j’accepta. Parce que mourir je ne désirais point, la douleur me creva et depuis se jour j’arpentai les endroits les plus sordide en quête de bonne âme que je pouvais soutirer par amour, pitié, ou miséricorde. Je ne pouvais me révéler pleinement à personne, tel était la malédiction,car tout ceux qui pouvais savoir devait m’offrir leur âme pour m’acheter plus de temps. Je devait toujours coupez le fil d’argent des gens qui tenaient à moi et qui me faisait confiance pour retenir mon ticket dorée vers l’éternité, que j’avait appris à détester, mais dont je ne pouvais me passer. Je ne peux pas me reposer un moment, sinon pour toujours, alors j’appris à semer le desire dans la cœur de chacun et piquer la curiosité des gens tout autours pour passer le cadeau et ainsi continuer à poignarder dans le dos pour survivre. De porte en porte, cherchant une précieuse âme de plus chaque fois. Je repère les gens en avance puis je les aproches, et lorsque il accepte de m’écouter, je fait ma part du contrat.
Il me regarda et sourit tristement, c’est alors que je compris.
- Tout ceci c’est votre histoire, c’est vous !
Il aquieca avec un vague sourire ironique.
- Vous avez accepter d’entendre mon histoire et maintenant
que j’ai votre attention vous devez m’offrir votre âme.
- Mais je ne veux pas, désoler mais vous ne me ferez pas
vendre mon âme avec votre simple histoire. (J’étais alors très agitée)
- Calmer-vous j’ai déjà fait ceci avec quelqu'un comme vous, plusieurs en fait, vous êtes mon genre d’auditeur. J’ai beaucoup souffert de l’avoir fait, mais je peux maintenant le faire pour n’importe qui voyez comme j’ai facilement trahit votre confiance.
- Vous n’avez aucun pouvoir ! J’ai refusé de vous donner mon âme.
- Mais vous avez accepter de croire à mon histoire, c’est terminer aller fermer les yeux, j’ai fait sa des tonnes de fois auparavant sa te fera mal à en devenir fou et te laissera agonisant.
Je vis qu’il avait des ailes noires, dans le dos et des pieds de bouc, il était vraiment le collecteur et il allait prendre mon âme. Il rit à haute voix, personne ne s’en rendrait compte autour, les lumières semblèrent retrecire puis disparures.
- Je sert mon temps à son service, je passe le cadeau. Maintenant à ton tour de volez avec le Cygne Noire. Je nourrit sa soif inépuisable avec le flot de ton âme, sans te laisser plus d’explication, comme il le fit jadis, maintenant tout comme moi tu n’a plus d’âme j’espère que tu ne m’en voudra pas, j’espère que tu comprend, ils comprennent tous avec le temps.
- Avec le temps ?
- J’ai dit que je prenais ton âme, mais pas ta vie.
Puis se fut la douleur. puis le vide insondable, la porte s’était refermer.
- Le seul que je puis duper, l’âme désespérer, le dernier
refrain est toujours pour moi, car de l’éternité je suis le roi. De ma
force je mens afin d'acheter encore un peu de temps...
J’entendis le crie du Cygne, c’était un crie victorieux
Ainsi il fit de moi un collecteurs, un sans âme, mais je ne peux me résoudre enlever l’âme des gens qui me font confiance. Ce qui étais certain, jamais je n’arriverai à le faire à des gens en face de moi comme lui le faisait.
Mais cette histoire me rendit la volonté de vivre, étant maintenant sans âme je
n’ai plus accès à l’après vie s’il en est. Alors la peur de mourir n’en ai que
grandit. Pour collecter une âme pour le compte du Cygne Noire je doit obtenir
la confiance et l’attention de la personne, celle-ci doit croire en mon
histoire et c’est la que je peux prendre son âme. Bien sur la personne est
laisser sans explication, à elle-même, s’il parvient à son tour à collecter, il
vivra, sinon il mourra. Mon métier est écrivain alors j’ai décidé de transcrire
mon histoire et la faire publier, aiyant des relations dans le milieu, ce fût
fait assez facilement. Et mon histoire circule maintenant de toute les
boutiques, vous l’avez surment acheté. L’avez-vous aimé, cru ? J’ignore qui
vous êtes, un homme, une femme, jeune, vieux ? Si vous voulez le savoir, je
m’en fiche. Je triche, je mens et je suis heureux avec cela. Ce qui m’importe
c’est que vous croyez en moi. Si vous êtes arrivez jusqu’ici j’ose croire que
c’est la cas. La curiosité est un vilain défaut que je vous avais dit, et
malgré tout vous êtes quand même curieux, parce que les gens ne change jamais. Ce qui m’amène à vous faire ce constat :
Je prendrais maintenant votre âme pour m’acheter plus de temps. Sa vous ferait
diablement mal et vous laissera à l’agonie, j’espère tout de même que vous comprendrez,ils comprennent tous avec le temps. L’entendez-vous ? Le chant du Cygne Noire, c’est le chant du victorieux.
Sujet: Le cygne noir 
Mer 30 Avr - 1:50
